Tableaux de renseignements supplémentaires : Rapport sur les résultats ministériels –
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Détails sur les programmes de paiements de transfert
Contributions relatives à l'Accord de coopération entre le Canada et l'Agence spatiale européenne (ESA)
Date de début : Le renouvellement de l'Accord a été signé le et a été ratifié le . Les modalités révisées ont été approuvées en et sont entrées en vigueur le .
Date de fin : (fin de l'Accord)
Type de paiement de transfert : Contribution
Type de crédit : Affectation annuelle de fonds par l'entremise du budget des dépenses.
Exercice de mise en application des modalités : Les modalités révisées des contributions, sous l'Accord de coopération –, ont été approuvées et sont entrées en vigueur en –.
Lien menant vers les résultats ministériels : L'investissement du Canada dans l'espace présente des avantages économiques pour l'économie canadienne.
Lien menant vers le répertoire des programmes du ministère : Programme de développement des capacités spatiales
But et objectifs du programme de paiements de transfert :
- Renforcer la base technologique de l'industrie canadienne et offrir un accès aux marchés européens pour les produits et services à valeur ajoutée dans le domaine de l'observation de la Terre (OT), des télécommunications, de la navigation, de l'exploration spatiale et des technologies génériques
- Encourager la participation du milieu universitaire canadien et rendre possible la démonstration des technologies spatiales canadiennes dans le cadre de :
- Missions et programmes européens en microgravité et
- En exploration spatiale.
Pour ce faire, l'ASC apporte une contribution financière à des programmes facultatifs de l'ESA.
Résultats atteints :
Résultat #1 : Occasions en sciences, technologies et développement.
En - :
- 110 enquêtes scientifiques, projets de recherche et développement ou de démonstration ont été financés par le programme ESA.
- Le coefficient de rendement du Canada depuis - a atteint 0,94 le .
Résultat #2 : La recherche et le développement dans le domaine spatial font progresser la science, les technologies, les applications et l'expertise.
En - :
- 36 technologies et applications ont fait progresser leur niveau de maturité technologique (NMT) ou niveau de maturité des application (NMA) à travers le programme ESA.
- 22 étudiants ont participé à des projets appuyés par le programme ESA.
- 58 professionnels en début de carrière ont participé à des projets appuyés par le programme ESA.
- 199 employés hautement qualifiés ont participé à des projets appuyés par le programme ESA.
Résultat #3 : Le savoir-faire du secteur spatial canadien est démontré.
En - :
- 1 mission spatiale impliquant des astronautes canadiens ou du contenu canadien rendue possible par le programme ESA.
- 9 technologies soutenues par le programme ESA pourraient être utilisées pour des missions futures.
- 5 technologies ont été mises à l'essai ou vérifiées et des expériences scientifiques réalisées dans le cadre d'un déploiement analogue ou dans un environnement suborbital grâce au soutien du programme ESA.
Résultat #4 : Le secteur spatial canadien est développé et bien positionné.
En - :
- 52 organisations canadiennes ont participé à des projets financés par le programme ESA.
Résultat #5 : Le secteur spatial canadien est concurrentiel.
- Depuis -, 5 technologies devaient effectuer un vol ou être spatioqualifiées grâce à la participation du Canada aux programmes de l'ESA.
- En -, la valeur des contrats subséquents obtenus par les organisations canadiennes sur le marché européen et mondial a atteint 13 390 160$.
Conclusions des audits réalisés en ‑ : N/A
Conclusions des évaluations effectuées en ‑ : Une évaluation couvrant les années fiscales de – à – a été conclue cette année. Les principales conclusions sont les suivantes :
Pertinence :
- L'industrie spatiale du Canada dépend des exportations et l'Accord de coopération Canada – Agence spatiale européenne (Accord de coopération) facilite l'accès à des opportunités uniques sur le marché européen.
- Le programme permet au secteur spatial du Canada de faire progresser les technologies, de développer des partenariats et d'obtenir des contrats de suivi.
- Une part croissante du financement de l'ASC est consacrée à des activités obligatoires dont le retour sur investissement est plus faible ; il en résulte une diminution des fonds disponibles pour les programmes facultatifs, ce qui a une incidence sur les performances de l'Accord de coopération.
Efficacité :
- L'Accord de coopération est géré efficacement et des améliorations importantes sont mises en œuvre. Parmi celles-ci, on compte un responsable de bureau national dédié au Canada à l'ESA et un sondage en ligne pour obtenir les commentaires de l'industrie.
- L'efficacité est parfois entravée par la distance entre le Canada et l'Europe et par les difficultés d'obtention de renseignements détaillés sur les contrats de l'ESA.
- Les conclusions indiquent qu'il est nécessaire de s'engager plus tôt avec le secteur spatial avant les réunions ministérielles et d'améliorer la sensibilisation aux programmes.
Efficience :
- Le Canada a continuellement obtenu un rendement géographique équitable pour son secteur spatial grâce aux investissements dans l'ESA.
- Un éventail diversifié d'organisations du secteur spatial canadien a participé à des projets de l'ESA, totalisant environ 30 % des organisations spatiales canadiennes.
- Une minorité relative de joueurs continue d'être les participants les plus actifs, les premiers 80 % des sommes d'argent étant versés à huit entreprises.
Le sommaire de l'évaluation est accessible en cliquant sur ce lien :
Sommaire de l'évaluation du Programme de contribution à l'Agence spatiale européenne par l'Agence spatiale canadienne
L'évaluation complète peut être consultée en cliquant sur ce lien:
Évaluation du Programme de contribution à l'Agence spatiale européenne par l'Agence spatiale canadienne
Participation des demandeurs et des bénéficiaires en ‑ : L'ASC s'engage activement avec le secteur spatial canadien (industrie et universités) par le biais de webinaires et de sa présence en ligne améliorée.
L'ESA publie fréquemment des avis d'offre de participation (AOP) et des appels d'offres dont un très grand nombre sont accessibles à l'industrie et aux universités canadiennes. Ces AOP sont présentées sur la plateforme en ligne esa-star et sont mises à jour régulièrement.
Renseignements financiers (en dollars)
Type de paiement de transfert | Dépenses réelles - |
Dépenses réelles - |
Dépenses prévues - |
Autorisations totales pouvant être utilisées - |
Dépenses réelles (autorisations utilisées) - |
Écart (dépenses réelles en - moins dépenses prévues en -) |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | 50,152,192 | 47,439,179 | 36,436,000 | 32,686,864 | 32,670,014 | (3,765,986) |
Total pour le programme | 50,152,192 | 47,439,179 | 36,436,000 | 32,686,864 | 32,670,014 | (3,765,986) |
Explication des écarts
L'écart est dû à une réaffectation interne des ressources, principalement en prévision de la mise en œuvre d'initiatives liées aux récentes annonces budgétaires dans le secteur spatial.
Programme global de subventions et contributions à l'appui de la recherche, de la sensibilisation et de l'éducation en sciences et technologies spatiales
Date de début :
Date de fin : S.O. — Programme permanent
Type de paiement de transfert : Subvention et contribution
Type de crédit : Affectation de fonds annuelle par l'entremise du budget des dépenses
Exercice de mise en application des modalités : –
Lien vers les résultats ministériels :
- Les activités de recherche et développement dans le domaine spatial font progresser les sciences et technologies
- L'information et les technologies spatiales améliorent la vie des Canadiens
- L'investissement du Canada dans l'espace présente des avantages économiques pour l'économie canadienne
Lien vers le Répertoire des programmes du Ministère :
- Développement des capacités spatiales
- Utilisation de l'espace
- Exploration spatiale
- Services internes
Buts et objectifs du programme de paiements de transfert : Le programme global de subventions et de contributions (S et C) appuie le développement des connaissances et de l'innovation dans les domaines prioritaires de l'ASC tout en sensibilisant davantage et en promouvant la participation des Canadiens aux disciplines et aux activités liées à l'espace. Le programme comporte deux volets :
- Recherche
- Sensibilisation et éducation.
Le volet Recherche vise à soutenir le développement des sciences et des technologies, à favoriser le développement continu d'une masse critique de chercheurs et de personnel hautement qualifié (PHQ) au Canada, et à appuyer la collecte d'information ainsi que la recherche et les études portant sur l'espace et la recherche afférents aux priorités de l'ASC.
Le volet Sensibilisation et éducation a pour objectif d'offrir des possibilités d'apprentissage aux étudiants canadiens dans diverses disciplines apparentées à l'espace; à soutenir le fonctionnement d'organisations qui se consacrent à la recherche et à l'éducation spatiales, et; à accroître la visibilité des sciences et technologies (S et T) spatiales canadiennes chez les étudiants canadiens et à les faire participer davantage aux activités connexes.
Ce programme de paiements de transfert est composé de subventions et de contributions non remboursables.
Résultats atteints : Au moment où les objectifs ont été fixés, aucune tendance basée sur les résultats antérieurs n'était disponible. Des objectifs prudents basés sur les résultats de - ont donc été établis.
Volet Recherche
En -
- Résultat #1 : Possibilités en sciences et en recherche et développement (R-D).
- 327 enquêtes scientifiques, projets de R-D ou projets de démonstration ont été financés par le Programme global de S et C.
- Résultat #2 : La R-D dans le domaine spatial fait avancer la science, les technologies, les applications et l'expertise.
- 155 technologies et applications financées par le Programme global de S et C ont fait progresser leur niveau de maturité technologique (NMT) ou niveau de maturité des applications (NMA).
- 2406 étudiants ont participé aux projets appuyés par le Programme global de S et C.
- 2662 PHQ ont participés à des projets financés par le Programme global de S et C.
- Résultat #3 : Le secteur spatial canadien est développé et bien positionné.
- 328 organisations canadiennes ont participé à des projets financés par le Programme global de S et C.
- Résultat #4 : La connaissance du domaine spatial est rehaussée grâce à la science.
- 141 nouvelles publications scientifiques évaluées par des pairs reconnaissent avoir reçu un financement de l'ASC.
Volet Sensibilisation et éducation
En - :
- Résultat #5 : Possibilités d'apprentissage et activités de sensibilisation.
- 1655 occasions offertes aux jeunes de la maternelle à la 5e année du secondaire (12e année hors Québec) grâce au financement du Programme global de S et C.
- Résultat #6 : Les jeunes Canadiens s'intéressent au domaine spatial.
- 69 506 jeunes ont été sensibilisés par des activités en STIM spatiales financées par le Programme global de S et C.
Conclusions des audits effectués en -: Aucune vérification des bénéficiaires n'a été effectuée au cours de l'année de référence. Aucune vérification n'est prévue ou en cours.
Conclusions des évaluations effectuées en -: La dernière évaluation du Programme global de S et C. a été complétée lors de l'année fiscale -. Un plan d'action de gestion a été mis en place et les fonctionnaires de l'Agence s'efforcent de respecter les délais associés aux recommandations. Six des sept recommandations ont été complétées et mises en œuvre.
Participation des demandeurs et des bénéficiaires en -: L'ASC publie fréquemment des avis d'offre de participation (AOP) dans le cadre de son programme de subventions et de contributions afin de soutenir la recherche, la sensibilisation et l'éducation dans les domaines des sciences et des technologies spatiales. Ces AOP sont sur le site web des subventions et contributions de l'ASC, qui est régulièrement mis à jour.
Depuis , une initiative visant à impliquer les bénéficiaires a été entreprise par le biais d'une enquête. L'ASC a étendu l'initiative à travers sa page web afin d'établir un dialogue avec les candidats et bénéficiaires potentiels.
Des consultations, des présentations et des discussions avec les communautés universitaires et industrielles ainsi qu'avec d'autres groupes de bénéficiaires potentiels sont en cours et se poursuivront.
Renseignements financiers (dollars)
Type de paiements de transfert | Dépenses réelles - |
Dépenses réelles - |
Dépenses prévues - |
Autorisations totales pouvant être utilisées en - |
Dépenses réelles (autorisations utilisées) - |
Écart (dépenses réelles en - moins dépenses prévues en -) |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | 10 961 530 | 14 058 691 | 15 831 000 | 14 924 590 | 14 924 589 | (906 411) |
Total des contributions | 25 720 020 | 23 566 658 | 25 645 538 | 25 301 084 | 25 301 081 | (344 457) |
Total pour le programme | 36 681 550 | 37 625 349 | 41 476 538 | 40 225 674 | 40 225 670 | (1 250 868) |
Explication des écarts
L'écart est dû à une réaffectation interne des ressources, principalement en prévision de la mise en œuvre d'initiatives liées aux récentes annonces budgétaires dans le secteur spatial.
Analyse comparative entre les sexes Plus
Introduction
En , le Parlement a approuvé la Loi canadienne sur la budgétisation sensible aux sexes. Les plans ministériels et les rapports sur les résultats ministériels permettent à la présidente du Conseil du Trésor de remplir son obligation de rendre publique l'analyse de l'incidence des programmes de dépenses sur le plan du genre et de la diversité, et ce, chaque année.
Il incombe à chaque organisation de procéder à sa propre Analyse comparative entre les sexes Plus (ACS Plus).
La Politique sur les résultats indique que les responsables de programme, qui sont désignés par les administrateurs généraux, doivent veiller à ce que les données soient recueillies et ainsi assurer la conformité aux exigences de la politique.
Champ d'application
Chaque année, les organisations doivent toutes remplir les tableaux de renseignements complémentaires sur l'ACS Plus des plans ministériels et des rapports sur les résultats ministériels.
Partie 1 : Gouvernance et capacité institutionnelle relative à l'ACS Plus
Gouvernance
Depuis , le Centre de responsabilité de l'ACS Plus est opéré à partir de la Direction générale des politiques de l'ASC. La structure de gouvernance de l'ASC Plus de l'ASC est composée du Centre de responsabilité de l'ASC. En lien avec les recommandations du Cadre de Ministère des Femmes et de l'Égalité des genres du Canada, le centre de responsabilité de l'ACS Plus supervise la mise en œuvre des pratiques de l'ACS Plus, promeut la sensibilisation à l'ACS Plus conseille les gestionnaires responsables de la rédaction des évaluations et de l'application de l'ACS Plus dans leurs processus de prise de décision. Il comprend :
- Le champion de l'ACS Plus, responsable de la promotion de l'ACS Plus;
- Le cochampion de l'ACS Plus, également responsable de la promotion de l'ACS Plus;
- 17 points de contact de l'ACS Plus, représentant 11 secteurs qui conseillent et guident les gestionnaires dans la réalisation de leurs évaluations ACS Plus et examinent leurs évaluations avant de les envoyer au champion de l'ACS Plus pour examen.
Capacité
L'ASC s'engage à favoriser des résultats diversifiés et inclusifs par l'entremise de son travail et reconnaît l'importance de l'ACS Plus pour atteindre cet objectif.
En réponse à l'Évaluation de la mise en œuvre de l'analyse comparative entre les sexes plus à l'Agence spatiale canadienne menée en et à la Réponse et plan d'action de la direction, l'ASC a renouvelé sa politique relative à l'ACS Plus en . Dans le cadre du renouvellement de la politique, qui modernise les politiques et procédures d'ACS Plus de l'Agence, l'ASC a lancé une nouvelle gamme d'outils de mise en œuvre et a introduit une exigence obligatoire de formation sur l'ACS Plus pour tous les employés afin d'aider les employés de l'ASC à mieux comprendre et appliquer l'ACS Plus dans leur travail.
Ressources humaines (équivalents temps plein) consacrées à l'ACS Plus
3 FTE
Partie 2 : Incidences liées au genre et à la diversité, par programme
Responsabilité essentielle : Le Canada dans l'espace
Nom du programme : Programme de développement des capacités spatiales (PDCS)
Objectifs du programme : Le PDCS développe la main-d'œuvre spatiale de demain en encourageant les jeunes de la maternelle à la 12e année (secondaire 5 au Québec) à poursuivre des carrières en STIM et en soutenant une expérience pratique pour les étudiants postsecondaires et les professionnels en début de carrière, y compris les femmes, les peuples autochtones, les populations racialisées et les personnes handicapées.
Population cible : Secteur spatial, établissements postsecondaires, jeunes, étudiants.
Répartition des avantages
Répartition | Groupe |
---|---|
Selon le sexe | Deuxième groupe : 60 % à 79 % d'hommes. |
Selon le niveau de revenu | Cinquième groupe : profite grandement aux personnes à revenu élevé |
Selon le groupe d'âge | Deuxième groupe : aucune incidence intergénérationnelle significative ou incidence sur les générations entre jeunes et aînés |
Résultats de groupes démographiques précis
Les données disponibles indiquent que les bénéficiaires du financement de la R et D du PDCS sont constitués d'hommes à 76 % d'hommes, de femmes à 24 % et de personnes non binaires et issues de la diversité de genre à 2 %Note de bas de page 1. Elles indiquent que ce sont les hommes qui profitent principalement du financement de la R et D du PDCS, tandis que les femmes et les personnes non binaires et issues de la diversité de genre peuvent faire face à des obstacles à l'accès aux possibilités par l'entremise du programme. Les femmes, les peuples autochtones, les populations racialisées, en particulier les Noirs, et les personnes handicapées sont sous-représentés parmi les étudiants et les carrières en matière de STIM. Le PDCS vise à réduire les obstacles à l'entrée et à la rétention en offrant des occasions équitables aux groupes sous-représentés de poursuivre leurs études et une carrière en STIM dans le secteur spatial et les domaines de la STIM.
De plus, les bénéficiaires du financement de la R et D du PDCS représentent toutes les provinces et tous les territoires du Canada. La plupart des bénéficiaires du financement résidaient au Québec et en Ontario (68,5 %), avec des taux plus bas dans les provinces de l'Ouest (24 %) et de l'Est (6,8 %), dans les Territoires du Nord-Ouest (0,3 %), au Yukon (0,3 %) et au Nunavut (0,3 %).
Incidences clés du programme* sur le genre et la diversité
Inspirer les élèves de la maternelle à la 12e année (5e année du secondaire au Québec) à poursuivre des études en STIM
L'initiative Apprentissage des jeunes de l'ASC a fourni des activités éducatives et des ressources inclusives à 122 110 jeunes canadiens tout au long de l'exercice -. L'initiative encourage la participation de groupes recherchant l'équité tout en contribuant à l'avancement à long terme de l'éducation spatiale et en matière de STIM, à l'intérêt des jeunes envers l'espace et aux carrières dans le secteur spatial canadien.
Grâce à cette initiative, l'ASC déploie des efforts à l'échelle de l'organisation pour faire progresser les priorités du gouvernement du Canada, notamment une main-d'œuvre diversifiée et hautement qualifiée; des aptitudes et une culture numériques; et attirer, former et conserver les talents. En -, l'initiative a permis d'atteindre la parité entre les sexes, 50,3 % des participantes s'identifiant en tant que femmes et 48,5 % des participants s'identifiant en tant qu'hommes. L'initiative comprenait également des participants de milieux variés, dont 3,5 % des participants se sont identifiés comme des Autochtones, 7,4 % proviennent de collectivités défavorisées sur le plan socioéconomique et 14 % se sont identifiés comme faisant partie d'une minorité visible. De plus, 95 % des jeunes interrogés ont indiqué qu'ils souhaitaient continuer de participer à des activités fondées sur les STIM après la fin de leur initiative.
Créer des occasions de perfectionnement professionnel de grande envergure pour les étudiants du secteur spatial
En -, le programme de développement de la science, de la technologie et de l'expertise en milieu universitaire (STEDiA) a continué d'appuyer les établissements postsecondaires canadiens dans la prestation d'expériences pratiques et spatiales aux étudiants de niveau postsecondaire et aux professionnels en début de carrière. Grâce à cette initiative, l'ASC a offert à 1 844 étudiants des possibilités de perfectionnement professionnel, notamment des conférences sur l'espace et de la formation. Il est important de noter que toutes les activités liées au programme STEDiA doivent prévoir des mesures pour promouvoir la participation des étudiants et des professionnels en milieu de carrière de tous les horizons. En -, STEDiA a interpellé 74 % d'hommes, 25 % de femmes et 1 % de personnes non binaires.
L'Initiative CubeSats pour les STIM (CUBICS) au Canada est un exemple de réussite d'un projet STEDiA. C'est une expérience pratique unique visant à accroître l'intérêt des étudiants envers les domaines des STIM et à les aider à acquérir de l'expertise dans une grande variété de domaines, en plus de mettre en place des compétences inestimables et nécessaires à la transition vers la main-d'œuvre spatiale au Canada. Cette initiative favorise également la diversité et l'inclusion au moyen de mesures qui encouragent la participation des étudiants et des groupes systémiques défavorisés de partout au pays, en particulier les femmes et les peuples autochtones.
L'ASC a également continué d'appuyer Q-AISES, la seule équipe autochtone fuséonautique au Canada pour qu'elle puisse participer à la compétition First Nations Launch (FNL) de la NASA. Tout comme CUBICS, ce programme offre aux étudiants autochtones une expérience unique qui les expose à la main-d'œuvre du secteur de l'espace. La compétition FNL offre aux équipes la possibilité de participer à des ateliers animés par des professionnels autochtones de la NASA dans le cadre de la conception, de la construction et du vol d'une fusée de haute puissance et de se mesurer à d'autres équipes autochtones de partout aux États-Unis. Après avoir remporté la première place l'an dernier (en anglais seulement), l'équipe espère connaître du succès dans le cadre de la compétition de cette année.
Statistiques sur les incidences clés du programme
Statistiques | Résultats observésNote de bas de page 2 | Sources des données | Commentaire (25 mots par statistique au maximum) |
---|---|---|---|
Bénéficiaires du financement de la R et D du PDCS par genre |
|
Profil d'indicateur de rendement | - |
Bénéficiaires du financement de la R et D du PDCS, par province ou territoire |
|
Profil d'indicateur de rendement | - |
Bénéficiaires du financement de la R et D du PDCS qui sont étudiants |
|
Profil d'indicateur de rendement | - |
Autres incidences clés du programme
Non disponible.
Responsabilité essentielle : Le Canada dans l'espace
Nom du programme : Programme d'exploration spatiale
Objectifs du programme : Le Programme d'exploration spatiale (PES) produit des technologies novatrices et des astronautes canadiens qualifiés pour des missions spatiales importantes. Ces missions permettent des découvertes scientifiques qui relèvent d'importants défis auxquels font face les communautés éloignées et nordiques sur la Terre, notamment des soins de santé équitables, la production alimentaire et la sécurité. En fin de compte, le PES contribue à l'avancement des connaissances et offre des occasions uniques à tous.
Population cible : Industrie spatiale, milieu universitaire, industrie alimentaire et secteur de la santé, étudiants, populations éloignées et nordiques.
Répartition des avantages
Répartition | Groupe |
---|---|
Selon le sexe | Deuxième groupe : 60 % à 79 % d'hommes. |
Selon le niveau de revenus | Cinquième groupe : profite grandement aux personnes à revenu élevé |
Selon le groupe d'âge | Deuxième groupe : aucune incidence intergénérationnelle significative ou incidence sur les générations entre jeunes et aînés |
Résultats de certains groupes démographiques
Les données disponibles indiquent que les bénéficiaires du financement du PES pour la R et D sont composés d'hommes à 79 %, de femmes à 21 % et de personnes non binaires et issues de la diversité de genre à 1 %Note de bas de page 1. Cela indique que ce sont les hommes qui bénéficient principalement du financement de la R et D du PES, tandis que les femmes et les personnes non binaires et issues de la diversité de genre peuvent faire face à des obstacles à l'accès aux possibilités par l'intermédiaire du PES.
De plus, de nombreux bénéficiaires du financement du PES pour la recherche et le développement résident en Ontario (45 %), avec des taux de représentation plus bas au Québec (24 %) et dans les provinces de l'Ouest (24 %) et de l'Est (7 %). Il n'y avait pas de bénéficiaires de financement à Terre-Neuve, à l'Île-du-Prince-Édouard, dans les Territoires du Nord-Ouest, au Nunavut ou au Yukon.
Principales répercussions du programme liées au genre et à la diversité :
Les investissements dans les technologies et les systèmes de soins de santé spatiaux améliorent les résultats de santé des astronautes dans l'espace lointain et ceux des Canadiens dans les régions nordiques et éloignées
L'ASC a demandé aux innovateurs canadiens de mettre au point de nouvelles solutions de soins de santé pour soutenir les équipes dans des missions spatiales dans l'espace lointain dans le cadre du Défi des soins de santé dans l'espace lointain. À l'étape 2 du Défi, des conseillers communautaires (CC) ont été jumelés avec les semi-finalistes pour leur offrir un soutien dans la mise au point de technologies de soins à distance qui répondent aux besoins des personnes vivant dans des communautés éloignées ou isolées au Canada. Le groupe de CC comprenait des représentants de l'Autorité sanitaire des Premières Nations, de Services aux Autochtones Canada et des fournisseurs de soins de santé à distance.
En , l'ASC a choisi la solution de MD Applications, EZResus, comme gagnant du grand prix du Défi. EZResus est une application qui synthétise l'information nécessaire au personnel d'urgence dans la première heure critique de la réanimation, du diagnostic à la posologie et à l'équipement de médicament requis. Bien que la technologie ait été initialement mise au point pour être utilisée dans l'espace, elle aide déjà à sauver des vies sur la Terre et présente un grand potentiel d'expansion dans des communautés éloignées ou isolées.
Investir dans les innovations spatiales en agriculture pour optimiser la production d'aliments nutritifs avec un minimum de ressources
Le Défi de l'alimentation dans l'espace lointain visait à favoriser la création de produits, d'applications et de technologies qui permettront d'élaborer des solutions agricoles durables pour l'exploration de l'espace lointain. Le Défi a contribué à l'acquisition de connaissances et de capacités qui peuvent être réutilisées sur la Terre aussi, puisque les conditions météorologiques extrêmes auxquelles font face les astronautes dans l'espace lointain sont comparables à celles des régions nordiques et éloignées du Canada.
Le gagnant de ce concours, annoncé au printemps , est Ecoaction Innovative Solutions Inc., dont le siège social est situé à Vancouver. Son système novateur de production alimentaire modulaire CANGrow pour l'intérieur utilise une approche novatrice pour la croissance d'une variété de fruits et légumes et de sources de protéines de haute qualité avec un minimum de ressources, et peut être la solution à l'insécurité alimentaire dans l'espace lointain. À la suite du Défi, l'équipe gagnante a fondé deux entreprises en tirant parti de leur solution gagnante et a recueilli 2,3 M$ en investissements de premier cycle afin d'accroître la production alimentaire et d'accélérer ses activités de recherche et de développement. Ce système a également été envisagé dans les collectivités nordiques et éloignées.
L'ASC a également contribué à la connaissance accrue des défis liés à la production alimentaire et à la sécurité alimentaire dans le Nord canadien, tenant compte de la culture, ainsi que dans des endroits difficiles et isolés, comme l'espace. En -, l'ASC a soutenu sa participation à l'initiative Naurvik, qui comprend la création d'un système de production alimentaire hydroponique dans une petite communauté du Nunavut, à 250 km au nord du cercle arctique. Le système est maintenant exploité par des techniciens autochtones résidents qui ont reçu une formation en culture hydroponique, en production alimentaire dans un environnement contrôlé, et sur les systèmes de climatisation, le projet visant à produire une variété d'aliments frais et nutritifs dans des environnements difficiles.
Statistiques sur les principales retombées du programme
Statistique | Résultats observésNote de bas de page 2 | Source de données | Commentaire (maximum de 25 mots par statistique) |
---|---|---|---|
Bénéficiaires du financement de la R et D du PES selon le genre |
|
Profil d'indicateur de rendement | - |
Bénéficiaires du financement de la R et D du PES, par province ou territoire |
|
Profil d'indicateur de rendement | - |
Bénéficiaires du financement de la R et D du PES qui sont des étudiants |
|
Profil d'indicateur de rendement | - |
Autres incidence clés du programme
Non disponible.
Responsabilité essentielle : Le Canada dans l'espace
Nom du programme : Programme d'utilisation de l'espace
Objectifs du programme : Le Programme d'utilisation de l'espace (PUS) tire parti de l'observation de la Terre et d'autres activités proches de la Terre pour que le Canada tire pleinement profit du potentiel offert par l'espace pour tous les Canadiens. Le PUS utilise des données satellitaires pour fournir des informations dans divers domaines tels que le positionnement, la navigation et la synchronisation, ainsi qu'aux personnes vivant dans des zones sujettes aux inondations, aux incendies et à d'autres risques naturels.
Population cible : Le secteur public canadien, l'industrie spatiale, le milieu universitaire et les peuples autochtones.
Répartition des avantages
Répartition | Groupe |
---|---|
Selon le sexe | Deuxième groupe : 60 % à 79 % d'hommes. |
Selon le niveau de revenus | Cinquième groupe : profite grandement aux personnes à revenu élevé |
Selon le groupe d'âge | Deuxième groupe : aucune incidence intergénérationnelle significative ou incidence sur les générations entre jeunes et aînés |
Résultats de certains groupes démographiques
Les données disponibles indiquent que les bénéficiaires du financement de la R et D du PUS sont constitués d'hommes à 69 %, de femmes à 29 % et de personnes non binaires à 2 %. Cela indique que ce sont les hommes qui profitent principalement du financement de la R et D du PUS, alors que les femmes et les personnes non binaires peuvent faire face à des obstacles à l'accès aux occasions par l'intermédiaire du PUS.
De plus, de nombreux bénéficiaires du financement de la recherche et du développement du PUS résident en Ontario (29 %), au Québec (19 %) et en Colombie-Britannique (17 %), avec des taux plus bas dans les autres provinces de l'Ouest (24 %) et dans l'Est (1 %). Il n'y avait pas de bénéficiaires de financement à l'Île-du-Prince-Édouard, dans les Territoires du Nord-Ouest, au Nunavut ou au Yukon.
Principales répercussions du programme liées au genre et à la diversité :
Responsabiliser le renforcement des capacités autochtones au pays et à l'étranger
En , l'ASC a participé à l'atelier de cartographie à l'intention des Autochtones à Melbourne, en Australie. L'Agence, en partenariat avec la NASA, a élaboré et présenté trois séances pour l'événement qui visaient à souligner comment les données de télédétection optique et radar peuvent être utilisées pour la cartographie et la surveillance des ressources naturelles. Ils ont également participé à un dialogue sur l'observation des terres et des eaux pour découvrir les voies d'exploration de l'intégration du savoir et de la science autochtones.
Fournir des données satellites aux fournisseurs de services partout au pays
L'ASC permet aux fournisseurs de services de partout au pays d'accéder aux données par satellite. Par exemple, en -, le satellite de la MCR a généré 444 866 images; ces images ont été partagées avec d'autres ministères et fournisseurs de services du secteur privé partout au pays. Les services fournis grâce aux données satellitaires de l'ASC aident les secteurs public et privé dans l'administration stratégique des environnements naturels et bâtis, la gestion des ressources naturelles, les catastrophes causées par des risques naturels et d'autres situations d'urgence. De nombreux Canadiens profitent de ces services; les agriculteurs peuvent surveiller le risque de maladie dans leurs récoltes, les premiers répondants sont mieux équipés pour gérer les inondations et les feux de forêt, les communautés du nord peuvent surveiller les banquises côtières et ajuster leurs activités de pêche en conséquence, etc.
Statistiques sur les principales retombées du programme
Statistique | Résultats observésNote de bas de page 2 | Source de données | Commentaire (maximum de 25 mots par statistique) |
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Bénéficiaires du financement de la R et D du PUS selon le genre |
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Profil d'indicateur de rendement | - |
Bénéficiaires du financement de la R et D du PUS, par province ou territoire |
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Profil d'indicateur de rendement | - |
Bénéficiaires du financement de la R et D du PUS qui sont des étudiants |
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Profil d'indicateur de rendement | - |
Autres incidences clés du programme
Non disponible.
Plan de collecte de données sur l'ACS Plus
À la suite de la mise à jour du profil d'information sur le rendement de -, de nouvelles données ventilées ont été disponibles pour l'année -, ce qui a permis une analyse intersectionnelle. Les lacunes en matière de données sont en cours d'identification et d'analyse et seront corrigées au cours des prochaines années. Des consultations ont également été effectuées avec l'équipe des Services juridiques pour s'assurer que la collecte de données est conforme à la Loi sur la protection des renseignements personnels et qu'elle est menée de façon éthique. De plus, la collaboration de l'ASC avec Statistique Canada a continué de mener à l'obtention de données supplémentaires relatives au genre et à la diversité dans le secteur spatial. À la lumière de ces données, l'ASC a pu établir sa première cible relative à l'ACS Plus au niveau ministériel dans sa Stratégie ministérielle de développement durable de à .
Définitions
Échelles
- Échelles des sexes
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- Premier groupe : principalement des hommes (80 % ou plus d'hommes)
- Deuxième groupe : de 60 à 79 % d'hommes
- Troisième groupe : équilibre général entre les sexes
- Quatrième groupe : de 60 à 79 % de femmes
- Cinquième groupe : principalement des femmes (80 % ou plus)
- Échelle des niveaux de revenu
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- Premier groupe : bénéficie fortement aux personnes à faible revenu (très progressif)
- Deuxième groupe : bénéficie un peu aux personnes à faible revenu (quelque peu progressif)
- Troisième groupe : aucune répercussion importante sur la répartition
- Quatrième groupe : bénéficie un peu aux personnes à revenu élevé (quelque peu régressif)
- Cinquième groupe : bénéficie fortement aux personnes à revenu élevé (très régressif)
- Échelle des groupes d'âge
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- Premier groupe : bénéficie principalement aux jeunes, aux enfants ou aux générations futures
- Deuxième groupe : aucune incidence intergénérationnelle significative ou incidence générationnelle entre les jeunes et les aînés
- Troisième groupe : bénéficie principalement aux aînés ou à la génération du baby-boom
Réponse aux comités parlementaires et aux audits externes
- Réponse aux comités parlementaires
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Les rapports des comités parlementaires n'exigeaient aucune réponse en ‑.
- Réponse aux audits effectués par le Bureau du vérificateur général du Canada (y compris les audits effectués par le commissaire à l'environnement et au développement durable)
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Les audits effectués n'exigeaient aucune réponse en ‑.
- Réponse aux audits effectués par la Commission de la fonction publique du Canada ou le Commissariat aux langues officielles
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Les audits effectués n'exigeaient aucune réponse en ‑.
Programme de développement durable à l'horizon et Objectifs de développement durable des Nations Unies
Agence spatiale canadienne
Les initiatives prévues par l'ASC sont décrites dans le rapport sur la stratégie ministérielle de développement durable (SMDD).
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